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26 février 2020
Coronavirus : le protocole naturel à diffuser
Que les choses soient claires.
Non, le nouveau coronavirus chinois n’est PAS la pandémie qui va engloutir l’humanité.
MAIS il peut causer malgré tout des dégâts dans nos sociétés.
Non, le nouveau coronavirus n’est pas beaucoup plus dangereux que la grippe saisonnière.
MAIS, comme pour la grippe, il peut tuer les plus fragiles d’entre nous.
Oui, la panique provoque plus de catastrophes que le virus lui-même.
MAIS il faut quand même se protéger
contre le risque d’être
infecté !
La bonne nouvelle c’est que vous ne risquez quasiment rien si :
- vous avez moins de 60 ans ;
- vous n’avez pas de maladie chronique (respiratoire ou cardiaque) ;
- et vous êtes non-fumeur.
Mais si vous avez plus de 70 ans, avec des soucis de santé, c’est le moment d’être vigilant !
Regardez les chiffres du navire de croisière Diamond Princess. Parmi ceux qui ont eu le malheur d’être infectés par le coronavirus :
- les sexagénaires (70 à 80 ans) ont eu 0,5 % de risques de mourir (1 mort sur 228 personnes infectées)…
- …et les octogénaires (80 à 90 ans) ont eu 10 % de risque de mourir (5 morts sur 52) !
Voilà pourquoi il est important de se protéger… avec sérénité, sans paniquer, mais avec sérieux.
Et pour cela, le mieux est de suivre dès que possible un protocole naturel anti-coronavirus.
Pour établir ce protocole, j’ai examiné la littérature scientifique et consulté nos meilleurs experts : le Dr Eric Ménat, le micro-nutritionniste Julien Venesson, l’aromathérapeute Elske Miles, la phytothérapeute Caroline Gayet, ou encore le naturopathe Didier Le Bail.
Ce que je vous propose n’est pas une protection à 100 %, mais c’est probablement ce qu’on peut faire de mieux !
Je rappelle que la médecine conventionnelle n’a rien à proposer contre ce genre de virus.
Ce que la médecine fait de plus efficace contre les pneumonies, c’est placer les malades les plus gravement atteints sous assistance respiratoire – cela sauve des vies !
En revanche, aucun médicament ne semble intéressant contre le coronavirus (à l’exception de la chloroquine, dont je vous reparle à la fin de cette lettre).
Comme pour la grippe, la médecine classique attend que vous guérissiez du virus tout seul – elle surveille simplement que vous n’attrapiez pas de sur-infection bactérienne, auquel cas elle vous donne de précieux antibiotiques.
Mais la bonne nouvelle est que, comme pour la grippe aussi, la médecine naturelle a une vraie efficacité, en prévention ET en traitement !
En prévention : ces vitamines sont précieuses, c’est une évidence scientifique !
Plusieurs vitamines sont simples à avaler, pas très chères… et très utiles contre les infections virales de l’hiver.
Elles renforcent votre système immunitaire… et vous rendent plus résistants contre les infections respiratoires comme le coronavirus.
La plus importante est la vitamine D – mes fidèles lecteurs le savent déjà, mais je compte sur tous ceux qui lisent cette lettre pour la transférer à tout leur entourage !
Or, en pleine saison de grippe et de coronavirus, ce le moment ou jamais de refaire vos réserves !
Une étude de l’Université du Colorado réalisée en maison de retraite a montré qu’il suffit d’avaler une dose de 3 000 UI de vitamine D par jour pour réduire de 40 % le risque d’infection respiratoire[1] !
Alors n’attendez pas une seconde : prenez 3 000 UI par jour pendant les 3 prochains mois minimum (pour le ZymaD en pharmacie, par exemple, cela veut dire 10 gouttes par jour).
Si vous craignez d’être déjà carencé en vitamine D (moins de 40 ng/ml dans le sang), commencez directement par 10 000 UI par jour pendant 10 jours, puis 4000 UI par jour.
Attention aussi à ne pas manquer de vitamine C : prenez 500 mg par jour, en plusieurs prises si possible.
Une revue d’études de la très respectée Fondation Cochrane a confirmé que la vitamine C peut être efficace chez certaines personnes pour éviter les infections hivernales [2].
La vitamine C est aussi intéressante pour contrer l’oxydation excessive dans vos poumons (et donc de réduire l’impact négatif du tabac ou de la pollution atmosphérique)[3] – c’est utile contre le coronavirus qui cause des pneumonies !
Quant à la vitamine E, elle est connue elle-aussi pour renforcer le système immunitaire – et on sait que la plupart des personnes âgées en manquent cruellement !
C’est en plus une vitamine vitale pour la santé des poumons – à condition de la choisir naturelle, de bonne qualité, plutôt que synthétique [4].
En fait, la plupart des vitamines peuvent avoir un rôle à jouer contre les infections comme le coronavirus, y compris les vitamines du groupe A et B.
C’est pourquoi je conseille, en plus de votre vitamine D, de prendre une multivitamine de qualité.
C’est la même chose avec la propolis, un autre anti-viral naturel qui aussi a de très bonnes chances de vous aider à vous protéger du coronavirus :
Rappel : c’est le moment de faire une cure de propolis !
Coronavirus ou pas, la période actuelle est un des meilleurs moments de l’année pour faire une cure d’au moins 3 semaines de propolis.
Je vous le disais dans la lettre envoyée il y a 30 jours :
Si vous avez une angine, une sinusite ou la grippe, la propolis réduit les symptômes et accélère la guérison [12].
Tout récemment, des chercheurs ont montré qu’un spray nasal à base de propolis accélère la guérison du rhume et soulage les symptômes [13].
La propolis est également précieuse contre les bronchites, car elle « désinfecte » les bronches et vous aide à expulser le mucus.
La propolis est LE grand remède que je prends chaque hiver… et que je vous recommande donc particulièrement dès aujourd’hui si vous êtes vulnérable aux infections.
En prévention, je vous conseille d’en prendre 300 à 400 mg matin et soir, en gélules ou en goutte.
Utilisez vite la puissance des huiles essentielles pour vous protéger
On sait depuis des années que la plupart des huiles essentielles sont des antiviraux d’une efficacité redoutable.
Et parmi toutes celles qui sont efficaces, il y en a une que tous nos experts vous recommandent d’utiliser en prévention
C’est l’huile essentielle de ravintsara (Cinnamomum camphora CT cinéole) :
« Commencer par le ravintsara qui a l’avantage d’avoir peu de contre-indication. Sur les poignets et à respirer. On peut y associer celle d’arbre à thé » (Dr Eric Ménat) ;
« Pour renforcer le terrain, l’huile essentielle de ravintsara, en friction sur les avant-bras, est très efficace » (Elske Miles) ;
« Huile essentielle de ravintsara et d’arbre à thé : 2 gouttes pures de chaque sous les clavicules et sur les avants bras chaque matin et soir, 5 jours sur 7 » (Caroline Gayet) ;
« Matin et soir, mélanger 4 gouttes de ravintsara dans une noix de gel d’aloe vera bio, puis appliquer sur le thorax et les voûtes plantaires » (Didier Le Bail).
Choisissez la formule que vous préférez, mais si vous faites partie des personnes à risque, faites-le !
Pour assainir l’air de votre domicile, vous pouvez aussi utiliser un diffuseur d’huile essentielle.
Dans ce cas, n’hésitez pas à choisir un mélange à dominante d’essence de citron, complété avec une autre huile essentielle (au choix : huile essentielle de Saro, Niaouli, Eucalyptus radié, Eucalyptus globulus, Pin sylvestre, ou encore de Bois de rose).
Voilà pour le protocole de prévention, pour éviter d’être infecté.
J’aurais pu aussi vous parler d’autres substances efficaces pour renforcer votre système immunitaire, comme les probiotiques, le sureau, l’échinacée ou le shiitake, mais je préfère en rester à l’essentiel et au plus simple.
Maintenant, voici ce que vous pouvez faire si vous êtes infecté :
Que faire si vous êtes CONTAMINÉ par le coronavirus ?
Si vous avez une suspicion de coronavirus, ou si on vous a diagnostiqué cette infection, vous avez tout à gagner à suivre mes conseils sur la vitamine D, la vitamine C et la propolis.
Mais votre arme la plus puissante pour vaincre le virus sera sans doute les huiles essentielles.
Si vous êtes infecté, une possibilité est de choisir les huiles essentielles efficaces contre les virus respiratoires en général.
Caroline Gayet recommande les huiles essentielles de ravintsara, niaouli et cajeput, en massage sur le thorax, les avant-bras, le cou, la clavicule ou le long du dos.
Et comme c’est une spécialiste des plantes médicinales, elle vous recommande aussi une tisane anti-virale, composée « à parts égales de réglisse racine, de baies de sureau, de feuilles de thym et de racine d’échinacée – 4 tasses par jour ».
Quant à Pierre Franchomme, un des plus grands spécialistes au monde des huiles essentielles, il conseille l’huile essentielle de Laurier Noble :
« Les propriétés anti-virales du laurier noble ont fait l’objet de recherches bien documentées.
C’est le cas d’une étude dirigée par Monica R. Loizzo, de la faculté de Pharmacie de Calabre. Elle a montré l’activité in vitro de l’huile essentielle de laurier noble sur le virus SARS-CoV responsable de l’épidémie de SRAS de 2003[14] »
C’est donc une huile essentielle prometteuse contre le coronavirus, et c’est pourquoi Didier le Bail propose le protocole ci-dessous, si vous êtes infecté :
« L’huile essentielle de Laurier noble est à utiliser par voie cutanée et de préférence sous forme pure, c’est-à-dire sans avoir été diluée dans une huile végétale ou mélangée à du gel d’aloe vera.
En pratique, appliquer HE Laurier noble sur les voûtes plantaires à raison de 5 gouttes par voûte et ce, plusieurs fois par jour
Il est capital de procéder à l’application uniquement sur cette partie du corps car on assure ainsi une diffusion rapide et optimale des molécules aromatiques jusque dans les alvéoles pulmonaires. »
Et bien sûr, n’oubliez pas de renforcer votre organisme en maintenant une activité physique et en évitant les excès alimentaires (gare au sucre qui plombe votre système immunitaire… et attention aux produits laitiers qui peuvent encombrer vos voies respiratoires).
Je vous ai promis de vous dire un mot sur la chloroquine, ce médicament anti-paludéen qui pourrait être efficace contre le coronavirus chinois.
De fait, parmi les médicaments chimiques existants, c’est clairement le plus prometteur contre le coronavirus, pour plusieurs raisons :
- Il a montré une efficacité in vitro contre le coronavirus chinois [15];
- Il a déjà fait l’objet d’études cliniques en Chine sur des patients atteints du coronavirus, dont les résultats prometteurs ont conduit les hautes autorités de santé chinoises à recommander officiellement ce médicament pour traiter le coronavirus [16];
- Et il est plébiscité par le Pr Didier Raoult, spécialiste mondial des maladies infectieuses, qui fait confiance aux conclusions des virologues chinois et qui connaît très bien le potentiel antiviral de ce médicament [17].
Le problème est que la chloroquine n’est pas sans effet indésirable, et qu’elle peut risquer, dans certains cas, de causer des arrêts cardiaques [18].
C’est pourquoi le protocole naturel que je vous ai décrit reste probablement la solution la plus avantageuse du point de vue du bénéfice/risque.
Mais je trouve quand même très étonnant que nos grands pontes et autorités de santé soient très réticents à vous proposer ce médicament, alors que c’est clairement le plus prometteur à ce jour.
Vous noterez la différence avec l’emballement médical et médiatique en faveur du Tamiflu, au moment de la grippe aviaire H1N1… alors que le Tamiflu est très peu efficace et risqué !
Par contraste, on dirait que le système médical occidental ne veut entendre parler de chloroquine – on vous en parle un peu en France grâce au Pr Raoult, mais pas du tout à l’étranger !
La raison ? Peut être : la chloroquine est un vieux médicament qui ne coûte quasiment rien…